Laëtitia Lazizi

crédit photo : laëtitia lazizi

Les marques éphémères sur le corps symbolisent des histoires personnelles invisibles : récits intimes souvent ignorés ou non partagés. Ces traces, si elles disparaissent avec le temps, viennent incarner l’invisible, ce qui se dérobe et s’efface, mais qui demeure inscrit au fond de nous.

Et les murs comme la peau sont des supports narratifs où les marques laissées par les humains, telles que des inscriptions, griffures, offrent un témoignage plus tangible d’une existence fugace et d’une mémoire persistante, comme des gestes de subsistance dans un monde parfois indifférent.

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