Magdalena KOPACZ 

sculpture

Libérées de nombreux détails anatomiques considérés comme superflus, on y trouve une variété de traces, de craquelures et de surfaces indéterminées dans lesquelles la vie résonne et qui, par effets de contraste, témoignent de la complexité de l’être. Douceur et rugosité, mélancolie et sérénité s’entrecroisent, tissant le filet de l’intime.Passant de l’argile tendre et malléable à aujourd’hui la pierre dure, un dialogue avec une nouvelle matière s’engage.

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Les sculptures lui permettent de saisir des moments éphémères, elles sont les traces du temps qui s’écoule et des changements qui adviennent. Elles dissimulent des souvenirs, des émotions, des rencontres. Elles sont des impressions dans lesquelles interfèrent deux mondes, le monde extérieur et le monde intérieur.